Marc JECK, journaliste Luxemburger Wort «Deux espoirs de l’art pianistique» (1996)
« Ce qui caractérise ce duo hors du commun, c’est, somme toute, sa coordination gracieuse calquée sur une technique singulière. En effet, dans le jeu des sœurs Pleynet, la touche devient prolongement du doigt : leurs mains se fondent véritablement dans le clavier. Grâce à cette « fusion », elles réalisèrent une élégance inégalée du phrasé mélodique du concerto de Mozart.
(…) Leur affirmation artistique dans l’exécution de ce concerto pour deux pianos de Mozart fournit la preuve éclatante que les sœurs Pleynet constituent d’ores et déjà un espoir pianistique pour demain. »